Poème de Marilou :
Il se trouvait songeur, par cette nuit d’été
Dans d’épaisses pensées, la sueur de son front
Coulait sur ses paupières en repos mérité
Ses deux mains s’étalaient sur un tendre coton
Il songeait à elle, à ses cheveux cosmiques
Leurs reflets whisky d’or lui rappelaient l’ivresse
Des faveurs oubliées, des saisons chimériques
Des vins de bon cru qu’il lui versait sur les fesses
Il n’avait plus que sa fièvre pour frémir
La culotte oubliée lorsqu’elle dû partir
L’aidait à jouir encor de son amour perdu
Il la froissait, portait à son nez le fétiche
Précieux, dessinant dans ses rêves en friche
Les contours mielleux de l’absent fruit fendu
La culotte de Marilou…
joli pème, taillé sur bois de chêne, à l’honneur de ses culottes, qui de vous s’imprègnent, vous êtes leur hotes
vos formes encore, sera le point fort,vos jolies fesses et votre calice là entre mains deviens délice
oui tes mots illustre bien se fantasme d’après l’amour
vous retenir toujours
Merci Charpentier, j’apprécie beaucoup ce petit mot en vers
très bien écrit Marilou, vraiment, on vagabonde, on fantasme, on se laisse imprégner par ces images. charmant et sensuel
smack ! madame belles fesses 😉